Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Autour du spleen, vraiment autour...

Publicité
Archives
Autour du spleen, vraiment autour...
Newsletter
0 abonnés
11 janvier 2014

invitation

Elle en était devenu accro, à y passer ses soirées à l'admirer, à scruter le moindre de ses traits, sur papier glacé.

En tournée de dédicace, il fallait absolument qu'elle le rencontre.

Elle se sentait si proche de lui, voulait tout connaitre de son histoire, de ses pensées.

Mais comment se démarquer parmis la horde de fan hystérique?

Elle se rendit au salon, fit la queue parmis toute ces autres personnes qui piaffé d'impatience de rencontrer leurs idoles.

Comme on pourrait s'y attendre, l'ambiance était surchauffé, l'excitation et les hormones remplissaient l'air.

Quand se fut son tour, pas de dvd ni de document à faire signé et pas de demande de photos.

Elle tendit à ce jeune acteur, qui la fassait temps réver, une enveloppe.

Surpris, il l'ouvrit devant elle.

De ses beaux yeux noir si expressif il lu la carte d'invitation

Il reprit constance en se passant les doigts dans ses cheveux long bouclés, qu'elle adorait tant.

On voyait bien qu'il ne savait pas quoi répondre, avait-il seulement compris ce qu'il y avait d'écrit?

Alors elle lui dit, " ce soir, diner, 20h, avec toute l'équipe"

Un des traducteur qui était à leurs services, le lui dit en anglais.

Elle ajouta "pas de smocking, mais en barbe!", en passant sa main sur son visage pour accompagner ses dires

A la traduction, il rit à gorge déployé et hocha la tête en disant "OK, OK! my beard is OK, so we will"

Les yeux brillant ils se quittérent là pour laisser aux autres personnes le champ libre aux demandes de dédicaces.

Mais elle ne put s'empécher de se retourner pour le voir une dernière fois et il la regarder partir, avec une expression qu'elle n'avait encore jamais vu sur les photos qu'elle trouver sur le net.

L'attente jusque 20h fut très longue, pleine d'incertitude.

Plus les minutes passèrent après l'heure du rendez-vous, plus son coeur s'emballer

Elle cru qu'il s'était arréter quand elle sentit une main se posé sur son épaule

le temps s'était comme suspendu jusqu'à ses premières paroles.

Il se remis en marche quand elle le regarda dans les yeux. son coeur aussi!

Publicité
Publicité
17 mars 2008

Regards

Cela faisait un moment que je n'ai pas poster, voici donc un texte écrit suite à la consigne 64 du blog Paroles Plurielles, mais qui malheureusement n'a pas été publier chez eux car la date limite pour la consigne était dépasser!

 

Il n’en a parlé à personne.

Il aurait pu, mais non, il voulait garder ça pour lui, l’emmener partout avec lui. Ça le rendait plus fort, plus heureux.

Au bout d’un moment, les gens qui le connaissaient bien, se rendirent compte qu’il y avait quelques chose de changer en lui mais sans pour autant en trouver la cause.

Il faut dire que Baptiste n’a jamais été un grand bavard ni de nature à montrer ses sentiments, il a toujours eu un air rêveur, comme s’il vivait dans un autre monde ou qu’il ne voyait qu’à moitié ce qui l’entourer.

Mais en fait, il voit tout mais autrement. La globalité, il ne connait pas, il ne remarque que les détails, ce qui fait beaucoup de choses à voir.

Baptiste aimait se balader dans la grande rue commerçante de Lille, après son travail. Il se fond dans la foule de badauds, passent des heures à regarder les vitrines de tout type de boutique, avant de retrouver son chez lui.

Avec l’approche du Printemps les décors étaient de style printanier, remplit de couleurs fraîche, les tenues sont légères et belles. Mais son regard dépasse les articles mis en en scènes et divague à l’intérieur des magasins.

Baptiste aime observer les scènes de la vie courante. Là une vendeuse proposait une série d’accessoire à une dame de style femme d’affaire. Elle laissa la cliente essayé les colliers qu’elle venait de lui tendre. Il sourit sans s’en rendre compte, de voir la vendeuse lâcher un soupir d’agacement face à cette cliente redoutable, tout en ce dirigeant vers un portique prés de la vitrine.

Et c’est là, a cet instant précis que leurs regards se sont croisé.

Lui toujours souriant bêtement comme s’il était devant sa télé et elle restant figé par la surprise d’être observer ainsi. Après quelques secondes, elle lui sourit timidement. Baptiste ne bougea pas, toujours plonger dans sa contemplation. Cette scène aurait pu durée une éternité si seulement la cliente n’avait pas ramené la jeune femme à la réalité, en lui posant une énième question.

Il resta planter devant ce mur de verre jusqu’à ce qu’il se rende compte qu’elle avait quitté son champ de vision.

Cette scénette était gravé en lui. Il ne voulait la partager avec personne. C’était son moment de bonheur. Un moment de pure magie, qui ne peut être compris que par les personnes impliqués.

Il n’en a parlé à personne. Il pense être tomber amoureux, comme ça, à travers une vitrine.

3 février 2008

a chaud

A peine rentrée que je fonce sur le net pour écrire mes impressions de cette soirée tant attendu.

Celle de mon premier concert.

Une artiste que j'adore. Simple, fragile, émotive mais aussi qui se débat dans ses émotions&sentiments pour ne pas mourir étouffé.

Je l'ai d'abord connu via la radio avec son premier titre "la liste" que j'ai trouver tellement vrai que ça m'en fait mal au ventre quand je l'écoute.

Ensuite avec ses autres titres ce fut le coup de coeur, celui dont on ne se débarrasse pas facilement.

L'achat, non prévu (merci Clélia pour le shopping à Lens), de son album me mis à terre.

La musique, sa voix et les paroles sont de la pure merveille et pour ne rien vous cacher, les histoires qu'elle évoque sont comme une résonance pour moi.

Comment peut-elle raconter si précisément ce que je suis, ce que je vis à cet instant précis?

Serais-je donc pas si différente des autres filles? avec leurs peines de coeur et de vie?

Mon coeur se serre d'ailleurs comme un étaux sur trois chansons, dont celle qu'elle a ajouté après l'enregistrement en studio (je l'ai appris ce soir de sa bouche). Et deux où là je pleure carrément.

Pour moi cet album c'est mon mois d'Août, avec mes amis, mon amour déçu, mon espoir retrouver puis perdus, mes écrits, ma tristesse, mes larmes, et un prise de conscience.

Alors Rose, merci pour tout ça!

11 janvier 2008

chapitre 1

La rentrée des classes

Pour la plupart des jeunes, l’entrée au lycée est synonyme de liberté d’un grand pas vers l’âge adulte, c’est là qu’ils devront faire des choix sur la vie qui les attendent mais c’est surtout le temps de l’amusement, des copains et des nouvelles expériences.

Tandis que pour ceux qui y ont déjà passé au minimum une année, ces impressions sont légèrement différentes car déjà vécu mais toujours présente.

Tout a commencé le 12 Septembre 1990, à la rentrée des classes.

Cette année là, les vacances n’ont pas étaient très réjouissantes, le temps a était très mauvais il n’a fait que pleuvoir, mais ce n’est pas pour autant qu’elles ont été gâchées car même avec le mauvais temps on peut s’amuser.

Les vacances passèrent très vite, comme toute vacance, et le jour de la rentrée arriva pour les lycéens.

Ce matin là, la vie reprenait son rythme habituel des jours d’école. Tout le monde est pressé, la circulation des transports collectif ou individuel repris, les villes se réveillent et les nuits sont plus calmes.

Les vacances sont à peine finies que l’on pense déjà aux prochaines. Est-ce sérieux d’avoir de telles pensées, alors que l’on a à peine repris le chemin des études ?

A 8 heures, l’arrêt de bus est pris d’assaut par les anciens et les nouveaux lycéens.

Ces jeunes n’ont pas encore vu ce qu’est la vie à 15 ans, mais ils vont s’en apercevoir très rapidement et vont y prendre goût encore plus vite.

Tous étaient un peu fatigués de se lever aussi tôt, car pendant les vacances l’heure du réveil avoisinée au minimum les 10 heures et aujourd’hui ce serai plutôt 7 heures.

8h10 : Le bus arrive enfin et le rituel de la bousculade pour trouver une place repris comme tout les ans et durant toute l’année.

Après s’être installés sur les banquettes capitonnées des bus scolaires, les voilà partis pour une nouvelle année scolaire qui risque fort d’être très mouvementée.

Arrivés au Lycée, le bus se vida de ses occupants, qui prirent le chemin qui mène au bâtiment couleur abricot et blanc, haut de 4 étages si convoité il y a à peine 3 mois pour ceux qui vont devenir les nouveaux « bleus » durant une longue et joyeuse année, pleine de surprise.

Leur principale attention à ce moment précis, est de repérer les lieux le plus vite possible pour ne pas se perdre ultérieurement, car même en l’ayant visité l’année dernière ça ne leur à pas suffit. Dans la cour de récréation, tous les élèves retrouvent leurs copains, copines et les discussions allées bon train. Elles portés principalement sur le déroulement de leur vacances, leurs résultats au examen.

D’autres élèves étaient regroupés prés de plusieurs tableaux où étaient affichées le différentes classes avec la liste des personnes qu’elles comprenaient, chaque classe avoisiner les 37 élèves, sauf pour les littéraires qui n’étaient qu’environ 18 par classes.

Chacun chercher son nom dans les listes et quand il l’avait trouvé il regardait s’il y avait quelqu’un qu’il connaissait. C’est ainsi que Clara, Laura et Sandy surent qu’elles étaient dans la même classe cette année encore.

Mais cette année, il ne s’agit pas de dormir sur ses lauriers car c’est le baccalauréat que l’on passe en fin d’année.

Dans la cour, les élèves de la classe de première STT1 se retrouvèrent et la première question que l’on poser était « Tu es dans quelle classe ? ».

Et si la réponse était celle que l’on attendait il y avait une réponse tel que « Super, moi aussi ! »

8h30 : Après avoir retrouver ses copains, copines, les élèves allèrent à leur salle où le professeur principal allait donner les noms des autres professeurs, l’emploie du temps de l’année et affecter les différents élèves à leur groupe après avoir vérifier les options de chacun.

Dans les couloirs tout le monde se presser pour trouver la bonne salle et quand ils la trouvèrent, ils regardaient les autres élèves avec méfiance.

Devant la sale 3, qui est placée derrière la cantine, étaient rassemblés les élèves de terminale CG (Comptabilité Gestion). Le professeur arriva et les fit entrer dans la salle qui leur été déjà familière, les retardataires arrivèrent plus tard.

Dans le couloir les élèves qui se connaissaient remarquaient qu’ils n’étaient pas nombreux et ils s’en réjouissaient d’avance.

Mais quand les autres élèves arrivèrent par petit groupes de 2 ou 3, ils se rendirent compte qu’ils ne serraient pas une petite vingtaine mais plutôt une petite quarantaine.

Laura et Clara était ensemble à une table double dans le fond de la classe, on voyait bien qu’elles se connaissaient car elles n’arrêtaient pas de parler et surtout qu’elles ne se quittaient pas d’une semelle.

Tandis qu’Annie état seule à une table à coté de ses futur amies et ne parlait à personne, c’est bien compréhensif quand on sait qu’elle est arrivé du Canada il y a à peine 1 mois et demi, Sandy l’aborda pour faire connaissance et également pour être prés de ses copines.

11 janvier 2008

inspiration du soir, bonsoir

C'est hyper agacant de s'endormir en pensant à plein de choses.

Encore une fois je me suis couché à une heure respectable (23H30), mais pas moyen de dormir tellement ça se bousculer aux portillons!

Donc je rallume la lumière et pond ceci :

Son regard doux et mystérieux

A fait tomber un pan de mur

Qui entouré mon cœur contre les coups dur.

Un rayon de soleil s’y est faufilé.

Clair et chaud sur ma peau pâle et froide,

Une sensation de bien être m’envahit.

Enfin la vie revenait en moi,

Tellement vite et puissamment

Que les brindilles de mes émotions

se sont enflammés, laissant après l’incendie

des braises ardentes.

Que seul le souffle des souvenirs continuent de faire rougir.

Publicité
Publicité
11 janvier 2008

premier sketch

Cela fait des années que je suis tombée (de rire) sous le charme et l'originalité du travail de François Pérusse.

Lors de fabuleuse vacances "camping" chez ma grand mère avec mon frére, ma couz et mon cousin, on s'est tellement pris au jeux, que nous aussi avons fait comme notre maître! Voici en exclusivité internationale notre version d'un épisode X-files façon 2 minutes du peuple.

Je voudrais, avant que vous lisiez la suite, vous demander votre indulgence car ce qui suit est l'oeuvre d'un délire de jeunesse et que la version papier est nettement moins drole que la version audio qui inclus des bruitages et une certaine liberté d'interprétation.

Hii… la porte s’ouvre, Mulder et Scully entre dans la pièce.

Alors Scully ce week-end c’est bien passé ?

Ca peut  aller mais trop court

Mulder, Scully dans mon bureau et en vitesse

Qu’est ce qu’il veut encore ce gros porc

Mulder et Scully se dirige vers le bureau, ouvre la porte

Fermer la porte Fermeture de la porte, le chef s’assit

Mulder vous allez être content, on vient de me prévenir que dans l’Arizona des témoins ont vu une lueur tomber du ciel près de chez eux.

Et est ce qu’ils ont donné des descriptions ?

Ben justement non, c’est pour ça que vous et Scully irez là bas. Votre avion est dans 2 heures et bonne chance.

Dans deux heures !!! Et bien ça va être gai.

Ouais tu l’as dit Mulder.

Mulder et Scully récupère le dossier concernant l’affaire et se prépare.

Bon ta valise est prête Scully ?

Ouais c’est bon

Bah aller on y va.

Départ pour m’aéroport en voiture.

Aller vite dépêchons nous l’avion va bientôt arriver.

Ah il est déjà là, bon aller.

Ils montent à bord de l’appareil et donnent les billets à l’hôtesse.

Bonjour Madame, merci

Euh tu prends coté hublot ou milieu ?

Euh je préfère prendre au milieu.

Ah je vais pouvoir voir s’il y a des extra terrestre dans le ciel, on ne sait jamais !

Ah ça va décoller

Décollage de l’appareil

Ah ben, j’vais boire un coup, tu viens ?

Euh, non je préfère rester là

OK comme tu veux Il boit son verre

Ah bon p’tit champagne là

Ah on va bientôt atterrir

Atterrissage

Bon voilà nous sommes arrivez

En regardant le paysage Mais il n’y a vraiment rien dans ce coin pommé. Je ne comprends pas pourquoi les extra terrestres vont toujours dans des endroits perdus ?

Je suppose que c’est pour ne pas avoir trop de témoin, ah bébête…

On va même devoir chercher dans les terriers à lapin pour avoir une description.

C’est ça ! Et pourquoi pas dans les fourmilières eh banane !

En ville, Scully regarde la foule et aperçoit une jeune femme qu’elle a l’impression de connaitre

Mulder tu as vu cette femme, suivons là, il me semble que j e la connait mais je ne sais pas qui c’est !

Hé quoi ? Tu semble la connaitre mais tu ne sais pas qui c’est !

Mais bien sur !

Mais non ! Tu vas rire mais en fait c’est l’image corporelle que j’aurai voulu avoir !

Ah… alors tu pense que c’est l’extra terrestre qui prend la forme physique rêver des gens ?

Exactement ! Mais suivons l au lieu de parler.

Ils courent pour rattraper la personne question qui vient d’entré dans un magasin.

Regarde elle est là-bas. Allons l’interroger.

Ils se dirigent vers elle.

Euh, madame, veuillez nous suivre s’il vous plait.

Et pour quels raisons… dit-elle d’une voix résonnante

C’est juste pour vous posez quelques questions, madame.

S’il vous plait.

Mulder lui indique le chemin en posant sa main dans le dos de la jeune femme, qui en quelques seconde se liquéfie et se transforme en pot de confiture.

Mais, mais, t’as vu elle s’est transformer en pot de confiture !

Mais, qu’est ce qu’il sait passer Mulder ?

Je n’en sais rien.

Tu sais Scully, la vérité est ailleurs!

Musique de fin.

30 décembre 2007

nouvelle année

Comme à chaque nouvelle année, les voeux et bonne résolutions sont de mises.

Pour moi cela tiendra en la retranscription de mon premier "livre", il y a déjà 10 ans qu'il existe, que pour moi je vous l'accorde donc il serait temps qu'il se fasse lire par autrui!

Je vous livre déjà le titre : "Autour du Spleen"

Si cela vous dit quelque chose, c'est normal c'est aussi le nom de ce blog, car a l'origine il était conçu pour la diffusion du "livre" mais c'est vite transformer en un petit jardin secret où ma diarhée verbale est reine!

Sur ce, je vous souhaite à tous une bonne fin d'année et un trés bel an 2008!

laperleuse, qui ne perle plus beaucoup en ce moment...

17 décembre 2007

amitié

Une vie est remplit de pleins de choses, qui ont plus ou moins d'importance.

La famille, l'éducation, l'école, font partie des bases qui nous construisent.

Ensuite viennent les choses superficiels, qui font de nous quelqu'uns d'intérréssant, de sociable, le petit truc en plus.

L'amitié se base quasiment que sur cela.

On dit que la première impression est toujours la bonne, que nous avons une capacité un peu surnaturel a cerné les gens dés le premier regard. Sauf que pour établir une amitié bien ancré, il faut creusé un peu sous la surface.

La difficulté réside en la livraison à l'autre de sa véritable nature, ce livrer tout entier n'est pas chose aisée, car la société actuelle fait que l'important c'est le paraitre.

Mais celui ci a une date de péremption.

Pour moi, une amitié née et grandit en un an.

Si la lassitude, les quiproquos, l'énervement, le "pas envie de le/la voir" ce fait sentir avant les 1 an de la rencontre, c'est foutu.

Par contre, tout passage au delà de cette limite, cette personne sera dans ma vie, mon esprit, mon coeur à vie.

8 décembre 2007

coup de blues

Il y a des rencontres que l'on oubli,
d'autres qui sont dans le registre souvenirs
et celles qui sont greffés à notre vie
Celles qui sortent du lot, celles qui nous on fait grandir.

Depuis quelques jours je suis à fleur de peau.

Je repense à beaucoup de choses.

Aux gens qui ont fait parti de ma vie
qui l'on embellie,
qui l'on bosselait,
qui l'on fait bougé.

Je ne me dit pas "si..."
car je sais que l'on ne peux changer ce qui est fait
On peux juste prendre des décisions
qui pourront rectifier le tir.

Tout ou presque n'est pas figé
on peux changer les choses
si on en a le courage
si on a les moyens

Les témoignages d'amitié pleuvent
ainsi que les petits noms
depuis cette année.
Moi qui n'ai jamais eu de preuve d'amour,
de soutiens moral,
ça m'émeut de voir que
l'on m'apprécie pour de vrai.
Je me sens enfin vivre, importante.

2 décembre 2007

Nature

Cet endroit est magique.
Je l'aime.
Comme sorti d'un rêve
ou d'un conte de fée.
Sa beauté est dans l'harmonie
que reprend ce spectacle
de la nature à son état originel.
Les textures, couleurs, bien êre
qu'il nous offre.
Et pourtant si sauvage
par sa puissance, son idomptabilité
face à l'impoyable désir des hommes
de tout controler, transformer.

Publicité
Publicité
1 2 > >>
Publicité